Les facteurs de stress anthropiques sont de plus en plus prégnants. On peut parler d’une pollution environnementale multi-facettes.
Fiche pédagogique : Le rayonnement électromagnétique Agnès Fayet
Le CARI produit un grand nombre d’informations pour les apiculteurs. Le travail éditorial principal est la revue Abeilles&Cie qui est publiée tous les deux mois. Elle est disponible en adhérant à l’association. Sur ce site, de nombreuses ressources et archives sont disponibles.
Notre blog Butine.info suit l’actualité et les événements que nous organisons ou que nous suivons. Beaucoup de ces contenus sont relayés sur les réseaux sociaux du CARI.
D’autres types de publications existent aussi comme des séries d’affiches, des guides pratiques et techniques, des fiches techniques, etc.
Les facteurs de stress anthropiques sont de plus en plus prégnants. On peut parler d’une pollution environnementale multi-facettes.
Entretien de Péter Bross, apiculteur hongrois, président de l’Association nationale hongroise
d’apiculture, conduit par Etienne Bruneau
La durabilité sociale et environ nementale est affaire de respon sabilité collective et individuelle. Intrinsèquement, le secteur api cole répond à de nombreux enjeux sociétaux de ce point de vue.
Trois témoignages sur l’estivage en Andalousie
Nous vivons pour l’instant des moments qui sont certainement historiques. Cette année, chacun peut prendre conscience de modifications fondamentales dans notre environnement quotidien que ce soit du fait du climat ou de la pandémie liée au Coronavirus.
Présentation du Guide des bonnes pratiques apicoles
Il n’est pas simple de caractériser l’offre florale dans un milieu, pas plus que d’estimer les populations de pollinisateurs inféodés à ce milieu.
POLOGNE 2
Notre voyage en Pologne en juillet a débuté par la visite de deux des plus grands apiculteurs professionnels de Pologne. Ce qui nous a surpris, c’est la simplicité de l’équipement mis en œuvre pour arriver à des résultats très encourageants.
Aethina tumida, appelé aussi petit coléoptère des ruches, est un insecte coléoptère originaire d’Afrique sub-saharienne. Il appartient au genre des méligèthes et à la famille des nitidulidae.
La première étape avant d’implanter des ruches ou d’augmenter son cheptel est de savoir dans quelle mesure lʹenvironnement peut supporter l’arrivée de nouveaux pollinisateurs.
La liste rouge des abeilles de Belgique est sortie à la fin de l’année 2019.
L’Union européenne est le deuxième producteur de miel au monde et le premier importateur mondial.
En 2019, la météo a, une fois de plus, été au centre des préoccupations des apiculteurs.
Depuis quelques années, une controverse agite des mondes faits pour s’entendre. Celui des apiculteurs. Celui des naturalistes. Celui des amoureux des bestioles qui visitent les fleurs, celles qui souffrent toutes, à des degrés divers, d’un appauvrissement du milieu. Aujourd’hui, on parle de « concurrence », terme bien anthropocentrique pour désigner des pollinisateurs. Le théâtre des enjeux des hommes se cristallise sur Bruxelles. Mais cela pourrait faire tache d’huile.
La durabilité d’une ville se mesure à l’aulne de plusieurs critères parmi lesquels figurent le verdissement des lieux publics, le renforcement de la cohésion sociale, la prise en considération des personnes à mobilité réduite, l’éducation à l’environnement, les transports doux, l’autonomie alimentaire, le travail collectif et le partage de l’espace, etc.
Les principales méthodes de récupération de la cire à l’échelle d’un apiculteur sont l’extraction à la chaleur solaire, à l’eau chaude et à la vapeur.
Etudes portant sur l‘impact de la clothianidine sur le microbiome du système digestif de l‘abeille et du rôle de certains probiotiques
Varroa est un arthropode. C’est un acarien parasite des colonies d’abeilles mellifères asiatiques. Il existe plusieurs espèces parmi lesquels on peut citer Varroa destructor, Varroa jacobsoni, Varroa rindereri, Varroa sinhai et Varroa wongsirii. L’abeille asiatique Apis cerana est l’hôte traditionnel de Varroa jacobsoni et de Varroa destructor. Ce dernier a été transmis aux colonies d’Apis mellifera par le fait des échanges commerciaux et s’est de cette façon répandu très largement sur la planète. La coévolution des espèces fait que les effets de l’acarien ne sont pas les mêmes sur Apis cerana que sur Apis mellifera. Pour Apis mellifera, Varroa destructor est un parasite importé accidentellement, et l’abeille n’a dans ce cas pas le bénéfice de l’adaptation. Il est considéré comme un des problèmes majeurs de l’apiculture depuis une quarantaine d’années. Les traitements chimiques n’ont rien résolu. Les méthodes biotechniques sont un soutien pour diminuer la pression des varroas dans les colonies. L’espoir réside dans l’abeille mellifère durablement résistante à varroa dans des conditions climatiques tempérées.